Les visiteurs du salon auront la chance de profiter d’un plateau d’une richesse exceptionnelle aux multiples entrées : Ford France, Ford Angleterre, Ford Allemagne et, enfin, Ford Europe. Un véritable voyage à travers le temps et les « révolutions » de cette marque emblématique, qui se poursuivra aussi grâce au plateau Ford Performance et au plateau Véhicules Utilitaires.
La production européenne à l’honneur
Véritable légende industrielle outre-Atlantique, Ford a aussi écrit quelques-unes des plus belles pages de l’histoire automobile européenne. C’est ce que les organisateurs d’Epoqu’auto ont choisi de présenter : le plateau populaire de cette 43ème édition se focalise donc sur la production européenne avec plus de 60 véhicules présentés. Une richesse due au fait que la marque ait proposé pendant très longtemps des modèles distincts en France, en Allemagne et au Royaume-Uni avant de fusionner les gammes sous la dénomination Ford Europe en 1967.
Pour raconter cette histoire, les véhicules seront présentés à travers différents univers : Ford Allemagne, Ford Royaume-Uni, Ford France, Ford Europe et Ford Performance. Les expositions seront réparties entre le Hall 5, la Galerie 6, le plateau Véhicules Utilitaires dans le Hall 6 et enfin sous le Dôme place des Lumières.
Ford expose ses sportives – Ford performance
Les visiteurs pourront faire un large tour d’horizon de l’histoire sportive de Ford avec plus de 20 modèles dédiés à la compétition, exposés dans la Galerie 6.
Extrait : Mclaren M7-F1 moteur Ford Cosworth de 1968, plusieurs Ford Escort dont 3 RS, la Capri MK1 Gr 2, une Capri RS2600 MK1 Tour de France de 1976 mais aussi une Cortina Lotus MK2 de 1968…
2 modèles d’exception exposés sous le dôme
Il s’agit de Ford américaines ayant une histoire avec la France : La Mustang du film « Un homme et une femme, 40 ans après », tout d’abord et une Ford GT 40 MK1 de 1966 ensuite, pour rappeler la victoire du constructeur américain aux 24h du Mans.
La saga complète des Taunus
C’est une douzaine de modèles que les passionnés découvriront, de la G13 à la P7 B en passant par OSI 20 MTS ou encore une Ford Buckel de 1939 sans oublier l’indétrônable Mino du record à Miramas.
En vedette : « Mino », Taunus 12 M du record de l’autodrome de Miramas
Avec ses 1 183 cm3 et ses 7 CV, elle a parcouru 358 273 kms en 143 jours, soit la distance Terre-Lune à 106 km/h de moyenne en 1963. Ce record unique sera mis en scène, place des Lumières, dès l’entrée sur le salon.
Une belle entrée en matière avec la banderole du record reconstituée et d’autres surprises…
Le saviez-vous ?
Mino : surnom donné à l’auto pendant la course du record, issu du diminutif du prénom « Dominique », la fille de Monsieur Pelletier, directeur de l’écurie BP à Miramas. Dominique fut en quelque sorte la « marraine » de course pour la 12M.
L’acquéreur de la 12M des Records aimerait bien entrer en contact avec cette marraine. Un appel est lancé aux personnes ayant participé à cette folle aventure
« Opération Mistral 300 000 » de Miramas en 1963.
Extrait du plateau :
Les françaises : Vedette coupé (1950), Comète Monte Carlo (1955), Ford T (1912), Ford A Roadster (1932)…
Les allemandes : P6 12M Coupé (1970), Taunus Transit (1962), P2 17M De Luxe (1959), Taunus Buckel (1939)..
Les anglaises : Consul Coupé CAPRI (1963), Zodiac MK3 (1961), Cortina TC Mk3 (1972), Cortina MK2 1600 E (1968)…
L’Europe : Granada Ghia V6 2.6L (1976), Escort 1100 MK1 (1973), Capri Cabriolet Villard (1973), Cortina TC MK3 (1972) …
Et les utilitaires : Ford T en camionnette de 1926 et une Anglia Break (1964) Taunus Transit (1962)…
Informations
Dates & horaires
Vendredi 4 novembre : 9h00 / 21h00
Samedi 5 novembre : 9h00 / 19h00
Dimanche 6 novembre : 9h00 / 18h00
Lieu : Eurexpo Lyon – Chassieu
Billetterie :
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